Comme Calder, nous sommes mobiles.
Encore plus depuis notre rencontre avec Digital Village.
Si nous n’avons pas changé notre philosophie du mécénat, de l’art appliqué à nos projets, le succès de nos Hyper Lieux et la mise en art que nous y avons mené à Paris comme à Angers nous a conduit à revisiter notre vision de l’art, signature de nos programmes.
Nous voulons bien sur nous faire plaisir, satisfaire notre goût de l’esthétique, du beau.
Nous avons compris que cette part de créativité que nous portons en nous devait être partagée, discutée, remise en question sans conformisme, sans barrières.
Paix à Mécèn’Art- auquel nous restons attachés, vive L’Art-Evolutionnaire que nous voulons débrider, riche de culture mais irrévérencieux, protestataire, libre.
Dans ce nouveau comportement que nous avons adopté, la première expression de l’Art-Evolution trouve sa définition dans l’œuvre Qu’Olivier Masmonteil interprète au Digital d’Angers – notre Hyper Lieu- avec Notre Apocalypse débridée, accessible, sans outrage pour l’histoire, mais actuelle, libérale.
Jamais l’art ne fait l’unanimité, il doit être sujet à controverse.
Nous aurons BEAU FAIRE, nous ne pouvons résister à la délectation de surprendre… À commencer par nous-mêmes.
Souhaitons que l’Art Evolution nous précède dans chacune de nos réalisations.
Plus les nouvelles contraintes réglementaires s’empilent, plus les mètres carrés de logements se font rares.
La concertation publique/privée devrait être la priorité de ces dix prochaines années, faute de quoi la construction de logement, de plus en plus contrainte ; donc de moins en moins accessible à la location comme à l’acquisition.
La bonne pratique environnementale que veut mettre en œuvre la ville de Paris avec le PLUI comporte des risques d’insolvabilité accrue des prétendants au logement.
Bien sûr, la grande idée d’Alphonse Allais était de bâtir des villes à la campagne intelligemment interprétée en construisant ; à l’inverse, la campagne à la ville, mais
ce dogme pourrait déjà à moindre impact être mis en pratique sur le domaine public :
Les dizaines d’hectares de béton, de bitume construit, démolis sans discontinue, créant des désordres, des coûts exorbitants, des accidents ; on ne compte plus les passants chutant sur les embûches et les nids de poules engendrés par ces travaux mal coordonnés.
Remettre du vert en ville ?
Commençons donc par nos trottoirs, créons des bandes de dalles engazonnées, stables, faciles à démonter et remettre en place après chantier.
Ces dalles offrent en outre des bandes de roulement confortables pour les fauteuils roulants et les poussettes.
On pourra ainsi pondérer les surcoûts sur le logement de ce PLUI… pluie de surcoût pour l’habitant déjà suffisamment rincé.
Qui sait, on y trouverait peut-être des trèfles à quatre feuilles !
Pas un choix mais un chemin dirigé par l’absence de logement ou à minima par son coût mensuel prohibitif grevé de surcroît par l’obligation d’assumer douze mois de l’année quand les études n’en demandent que la moitié.
Revenons à notre autodidacte : il remet parcours sup à une date ultérieure, il prend pour un an au moins un job d’été – l’ hiver, reste chez Maman Papa le temps de voir venir, construit un CV et prospecte du boulot faisant appel à son savoir (pratique), argumente le fait qu’il ne cherche pas un cdi.
Petit goût amer, il aimerait bien faire des études comme presque tout le monde, mais point de faculté à la Ferté-sous-Limou; ses parents – pas très « pécunieux »- ne peuvent financer son avenir et en premier lieu son logement.
Notre jeune autodidacte devra donc faire avec, rester à la Ferté… le temps qu’il faudra pour fabriquer des logements en suffisance.
Peut-être pour ses enfants?
La simplicité est difficile à atteindre, au théâtre comme en architecture.
Robert Mallet-Stevens est l’illustration même de cette simplicité, de ces lignes architecturales pures.
Avant lui, Palladio part du confort intérieur de l’habitation pour arriver à l’enveloppe architecturale.
La simplicité est difficile à atteindre, au théâtre comme en architecture.
Robert Mallet-Stevens est l’illustration même de cette simplicité, de ces lignes architecturales pures.
Avant lui, Palladio part du confort intérieur de l’habitation pour arriver à l’enveloppe architecturale.
Comme Mallet-Stevens, ses maisons sont simplement harmonieuses.
Souvent, les grands architectes ont imaginé l’intérieur, son agencement, son mobilier, son décor.
Le Corbusier en est lui aussi l’exemple des temps modernes.
Et pourtant on l’appelait le fada !
Nous aussi chez Open, nous imaginons l’intérieur, puis nous confions ce cahier des charges au maître d’œuvre. On ne bâcle pas ; habitons-nous dedans ou dehors ?
Si les formes extérieures des maisons que nous commandons aux architectes peuvent parfois sembler complexes, c’est pour répondre à ce souci du confort, de l’harmonie des usages que nous devons en priorité aux habitants que nous avons choisi de servir :
Les jeunes.